Fleur’T, le salon de thé fleuriste poétique et éco-responsable

Fleur’T, le salon de thé fleuriste poétique et éco-responsable

C’est une tendance de fond. Les entrepreneurs sont de plus en plus « green native ».
Ce format sérieux « et en même temps » léger, met en lumière ces nouveaux porteurs de projet à impact.

Cette semaine on découvre le projet Fleur’T  de Cécile Alibart dans le Puy de Dôme.

Explique-nous ton projet

Fleur’T avec les sens, c’est un salon de thé fleuriste poétique et écoresponsable, situé dans le quartier médiéval de Montferrand. Je propose: – des fleurs 100 % françaises, de saisons et le plus locales possible, – des ateliers créatifs végétaux, de sensibilisation au tri des déchets, au compostage, et bien d’autres thèmes, – de profiter de la zone calme et ressourçante, – de consommer des gourmandises respectant mes valeurs, locales… Mon ambition est de vous faire vivre un moment inoubliable de bien être grâce au végétal et de donner envie à chacun de végétaliser sa ville et sa vie !

Résume-le en trois mots-clés 

VÉGÉTAL / LOCAL / RESPECT / TRANSMISSION (oups il y en a 4 !)

Pourquoi avoir décidé de monter ce projet ?

Pour partager mon univers végétal et proposer une alternative aux fleurs de l’autre bout du monde. En particulier via des fleurs locales, de saison, saines pour notre santé et celle de la planète.

Pourquoi ce nom (de marque) ?

Par ce que c’est un salon de Thé ! Je suis Sens-ible, les 5 Sens sont présents dans le lieu, dans mes créations, c’est le Sens de l’histoire, je vais parfois dans tous les Sens, j’ai du bon Sens etc

En quoi ce projet améliore-t-il le monde ?

Par la médiation végétale et la pédagogie, je souhaite avec Fleur’T, que chacun ait envie de végétaliser sa vie afin de participer à réduire notre impact environnemental et ainsi contribuer à un monde meilleur.

Une start-up qui te fait rêver (et pourquoi?)

Poom Patisserie pour le nom de l’entreprise (Poom, le bruit de la pomme qui tombe de l’arbre) et son idée géniale de récupérer les fruits « perdus ».

Une start-up qui ne te fait VRAIMENT PAS rêver (et pourquoi) 

Aucune, car j’ai conscience du boulot que cela nécessite, même dans des domaines qui ne sont pas dans mes valeurs. Nous avançons à notre rythme.

Si tu pouvais recommencer ton projet à 0, tu changerais quelque chose ? Et si oui, quoi ? 

J’écouterai mon intuition un peu plus tôt !

 Le meilleur moment depuis le début de ton projet ? 

Chaque moment allant de la récolte à la ferme florale, à la réalisation d’une création végétale qui réponde au mieux au bénéficiaire. Me rendre compte que chaque création a une histoire.

Le pire moment depuis le début de ton projet ?

Le temps de sa mise en place du projet ! Mais il y a certainement une raison, alors j’accepte.

Un super héros que tu embaucherais et pourquoi ?

Wonderwoman ou Superman qui pourrait m’assister sur le bricolage, mais aussi sur la réalisation de toutes les idées qui sortent de ma tête !

Aujourd’hui, qu’est-ce qu’il te manque pour avancer ? 

La fin des travaux pour enfin partager mon travail et créer vos univers végétaux.

Si tu avais Musk/Gates/Bezos, comme stagiaire qu’est-ce que tu leur ferais faire ? Des cafés de l’espace ?

Je leur demanderai des conseils et bien sûr de me partager un peu de leur notoriété pour végétaliser toutes les zones urbaines du monde !

À propos de Pauline Rivière

Pauline Rivière est journaliste et rédactrice en chef du média en ligne le Connecteur. Elle est en charge du choix des dossiers spéciaux mensuels. Elle développe également des outils de datavisualisation à destination de l'écosystème de l'innovation et s'intéresse à l'innovation éditoriale. Avec sa société SmartVideo Academy, elle anime différentes formations à la réalisation de vidéos (au smartphone notamment) et à l’écriture audiovisuelle. Elle intervient également dans l'Enseignement Supérieur dans le cadre de projets pédagogiques digitaux, mêlant techniques de communication et sujets d'innovation.